Ces derniers outils donnent lillusion à lemployeur de disposer immédiatement de la bonne information et du bon candidat gratuitement, regrette Jean-Pierre Scandella, fondateur et gérant du cabinet Arrowman Executive Search. En corollaire de cette tendance, le chasseur de tête discerne dailleurs deux nouvelles attitudes antinomiques de la part des recruteurs américains, souvent en avance de quelques années sur leurs homologues français : les premiers jugent naïvement que les CV ne servent plus à rien car ils sont facilement maquillés, lourds et discriminants, préférant sen passer en basant leurs recherches sur les réseaux sociaux. Les seconds se transforment presque en détectives privés, fouillant le passé de ceux qui postulent avec plus de liberté quen France.
viaLauthentification et la vérification des CV | Le nouvel Economiste.